Un texte d’une modernité et d’une lucidité folles pour son époque (première publication en 1947)… Et pour la nôtr. Alive Rivaz écrivait alors le roman d’une femme à l’étroit dans sa vie conjugale et désabusée par un modèle de famille et de société qui ne l’épanouit pas. Elle love une pensée juste, belle, porteuse d’espoir et de changement.
Une vision radicale et nécessaire, à toute époque.
Sublime !
La première phrase :
« Je crois que je n’aime plus mon mari. Et dire que toute ma famille s’imagine que c’est l’homme de ma vie parve que pendant longtemps j’ai beaucoup peiné, travaillé pour lui. Mais est-ce à cela que se mesure l’amour ? Je ne pense pas. Ce qui se mesure là, ce qui porte témoignage, n’est-ce pas plutôt une certaine obéissance à une destinée ? «