Valérie Zenatti / Qui-vive

Le conseil de la Librairie La Carline

Ces pages font lire un espoir, celui d’un territoire où la guerre ne peut pas être une solution.
Pour le personnage de Valérie Zenatti, Tel-Aviv, Jérusalem ou Capharnaüm sont les lieux d’une possible rencontre avec soi-même, avec son histoire et son identité.

La première phrase
 » C’est là, c’est peut-être là qu’est née l’impulsion qui jaillirait des années plus tard, lorsque j’ai appris la mort de Leonard Cohen par une alerte sur mon téléphone, à cinq heures du matin, dans un réveil bref et halluciné, par ce geste devenu mécanique de tendre une main pour s’informer de l’heure et des secousses du monde, parfois pour découvrir le message d’un être aimé qui dilaterait le cœur. « 

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