La librairie L’Arbousier (Oraison et Lurs – 04) vous conseille ! Indicible : qu’on ne peut dire, exprimer. Le père est un sadique pervers, la mer participe à l’inceste, et les deux filles sont les victimes. Chienne est l’une d’elles, celle qui exprime, qui dit ce qu’on ne peut pas dire.Premier roman québécois bouleversant.
Sylvie Gracia est femme de lettres et éditrice. Elle dirige pendant plus de vingt ans la collection de littérature générale « La brune » au Rouergue, qu’elle a contribué à lancer, et découvre des auteurs comme Claudie Gallay, Julia Kerninon et Alexandre Seurat. Aux éditions du Rouergue, elle est également responsable des collections de littérature …
Sylvie Gracia, éditrice à l’Iconoclaste, répond à nos questions Lire la suite »
En librairie début décembre et ici une vidéo de présentation par l’autrice elle-même. « Pour avoir la chance d’avoir déjà sous les yeux ce livre, je peux témoigner de sa réussite : la plume acérée de Nadia Khiari qui déroule l’histoire des dix dernières années de la Tunisie, son regard attentif et sans concessions, le …
Une proposition d’Atlas que nous vous invitons à suivre ! « La première chose que je peux vous dire » Un florilège d’incipit Nous vous donnons rendez-vous samedi 28 novembre, à partir de 21h sur la chaîne TV ATLAS, pour une lecture plurilingue en direct. Au cours de cette lecture par écrans interposés, on débarque chez des …
Lecture plurilingue en direct le 28 novembre Lire la suite »
Traduit de l’hébreu par Rosie Pinhas-Delpuech. Editions do, 2020. L’avis de Catherine Un homme qui peu à peu s’éloigne : il vieillit et sa mémoire fait défaut, de manière pathologique. Sa fille, la narratrice l’accompagne et, malgré ou grâce aux déchirures du tissu des mots, elle trace peu à peu, avec tendresse, le portrait de …
Une note de lecture d’Evelyne et une présentation vidéo par l’auteur lui-même. L’histoire d’amour d’un père et de ses deux fils, à la fois belle et triste. La mère est morte. Les garçons, Fus et Gillou, sont à l’heure des choix : comment les accompagner, quand le père est lui-même dans une situation de fragilité ? …
Un texte fort et émouvant à découvrir par la voix de son autrice. Elle en lit les premières pages.
L’avis d’Evelyne Un demi-siècle d’histoire(s), des destins de femmes très forts, une maîtrise remarquable de la narration. « Elle part », ce sont les derniers mots du roman. Partir pour survivre, fuir et espérer un autre avenir, meilleur peut-être ? C’est en tout cas la seule échappatoire envisagée par quatre femmes, la mère Irène, ses filles, Jessie, Belinda, …
L’avis de Marie-Aube ( La Carline, Forcalquier) Magistral travail de mémoire, à la croisée de l’Histoire et de la sociologie. Une enquête au long cours sur les récits – et les silences – familiaux autour de la guerre d’Algérie. Indispensable. La première phrase Parler de génération à propos des hommes qui ont combattu en Algérie …
Raphaëlle Branche, « Papa, qu’as-tu fait en Algérie ? » Lire la suite »