Marie-Aube a lu et nous conseille ce roman.
À la découverte de la littérature tatare, à travers de premier roman, tout en finesse et profondeur : sans avoir l’air d’y toucher, l’auteure nous fiat voyager dans l’espace et le temps, et suivre la longue route de Zouleikha vers la liberté, alors même qu’elle subit la déportation des Koulaks, dans la Russie des années 30.
Une nouvelle voix est née dans la littérature russe, qu’il faudra suivre !