Le roman le plus drôle de l’été où un journaliste-philosophe s’échine à démontrer dans une thèse aussi brillante que tirée par les cheveux que les événements de mai 68 ne sont pas ceux qu’on croit !
La première phrase
« Il était une fois un papillon encore plus fameux que le « papilio aegeus » australien dont le battement d’ailes provoqua au XVIIIe siècle le pire tsunami jamais survenu au Japon. Ce livre est son histoire. »