Jean-Michel Espitallier, La Première année
Il est des livres dans lesquels on plonge sans réfléchir, et même sans craindre de bousculer les mots, voire de sauter des pages.Il en est au seuil desquels on hésite parce que le sujet, annoncé d’emblée, fait entrer le lecteur dans l’intime d’une expérience de vie (puisque de mort). C’est le cas de La première …