Diane Meur, Sous le ciel des hommes

L’avis de Marie-Aube, La Carline (Forcalquier)

Un roman parfaitement écrit et superbement construit, doublé d’un essai brillant : on s’attache à chacun des personnages et à leur groupe qui écrit un pamphlet lucide et ironique sur la marche bancale de notre monde.
Une perle de la rentrée littéraire, Et n’hésitez pas à découvrir ses précédents romans tous en poche

Diane Meur était invitée à La Carline le 19 novembre. Malheureusement encore une rencontre annulée !

La première phrase

La ville dormait – non pas de son sommeil nocturne, mais de la trompeuse somnolence de ses dimanches après-midi.

Editions Sabine Wespieser

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